Grand, athlétique,
SCUDERIA 1918 CASAGO n’a que peu de traits en commun avec son illustre père,
CASALL (Holst, Caretino x Lavall I). Ce dernier, toisé à seulement 1,67 m, a autant brillé par sa production que par ses performances sportives. Onzième du classement établi par la Fédération mondiale de l’élevage de chevaux de sport (WBFSH) des meilleurs pères de gagnants en 2024, il fit les beaux jours du Suédois Rolf-Göran Bengtsson durant neuf ans. Au total, le couple affiche vingt-neuf victoires internationales, parmi lesquelles les Grands Prix 5 de Chantilly, Valkenswaard, Doha, Hambourg, Rotterdam, Londres, Paris Eiffel, Lyon, Bâle, Monte-Carlo, Bois-le-Duc et Falsterbo. En tout, ils seront montés sur soixante-quinze podiums des plus belles pistes de la planète, mais n’auront obtenu qu’une seule médaille en championnat, le bronze par équipes aux Européens de Herning en 2013, à laquelle s’ajoutent deux « médailles en chocolat » individuelles, cette même année au Danemark ainsi qu’aux Jeux équestres mondiaux (JEM) de Normandie en 2014, et trois participations successives à la finale de la Coupe du monde Longines. La carrière de
CASALL s’est terminée en apothéose lors de l’étape du Longines Global Champions Tour de Hambourg, l’un de ses concours fétiches, où il a remporté le Grand Prix, en 2017.
Reconnu pour ses qualités d’athlète, il l’a été aussi pour son charisme et sa longévité à haut niveau. Né en 1999 chez Wilfried Thomann dans le village de Drelsdorf, aux confins du nord-ouest du Schleswig-Holstein, à quelques encablures du Danemark,
CASALL rassemble le sang de Caretino (Holst, Caletto II x Metellus) et Lavall I (Holst, Landgraf I x Sancramento Song). Autrement dit, il incarne le fameux croisement Cor de la Bryère x Ladykiller x Sacramento Song sur une souche maternelle imprégnée du sang du plus célèbre Anglo-Arabe d’Allemagne, Ramzes (AA, Rittersporn x Shagya X 532), issu du mélange entre un Pur-sang et une Shagya. Frère utérin de CCS Uriko (Holst, Uriko x Laval I), gagnant à 1,60 m avec l’Irlandais Billy Twomey puis l’an dernier avec le Chilien Jorge Matte Capdevila, et de Clarence I (Holst, Carano x Laval I), qui fut importé très tôt en France par le haras de Gravelotte,
CASALL descend d’une lignée maternelle très fournie. Grâce à sa génétique, ses performances et son charisme indéniable, cet étalon a énormément sailli. Plus de trois mille cinq cents produits figurent sur les principales bases de données, dont huit cent huit inscrits en France. Deux cent trente-cinq fils diffusent sa génétique à travers le monde, dont les grands gagnants Caracas (AWHA, d’une mère par Colman), avec le Belge Jos Verloy, Cordial (Holst, d’une mère par Chicago Z), performant sous la selle de la Française Mégane Moissonnier puis de l’Irlandais Denis Lynch, et disponible cette saison en frais pour la France, le regretté Chilli Willi (Holst, d’une mère par Lord), complice du Belge Nicola Philippaerts,
CABACHON (Holst, d’une mère par Concerto II), avec la Néerlandaise Suus Kuyten et distribué lui aussi par le Groupe France Élevage (GFE),
CASALLCO (Holst, d’une mère par Contender), monté par l’Allemand Philip Rüping, Cashpaid J&F (Holst, d’une mère par Chicago Z), véritable crack débuté par le Belge Nathan Budd,
CHAT BOTTE E.D., (Z, d’une mère par Darco), performant sous la selle du cavalier irlandais Billy Twomey et lui aussi disponible en frais à Saint-Lô cette année, sans oublier Casallo (Z, d’une mère par Carthago), présenté par l’Italien Piergiorgio Bucci. Si les qualités sportives de ses descendants sont indéniables, les modèles hérités de ce grand sire montrent cependant une certaine hétérogénéité, que
SCUDERIA 1918 CASAGO ne semble pas transmettre lui-même à sa descendance.
COR DE LA BRYÈRE OMNIPRÉSENT
Côté maternel,
SCUDERIA 1918 CASAGO compte en père de mère l’un des plus grands géniteurs du Holsteiner, Carthago (Holst, Capitol I x Calando I). Le gris apporte le sang de Capitol I (Holst, Capitano x Maximus), dont l’influence se poursuit aujourd’hui un demi-siècle après sa naissance, en 1975. Parmi ses plus illustres fils étalons, outre Carthago, citons Cardento (Holst, d’une mère par Lord), septième du classement mondial de la WBFSH, Cassini I (Holst, d’une mère par Caletto II), père de plus de cent quatre-vingt-dix étalons dont Cumano (Holst, d’une mère par Landgraf I),
CHAPLIN et Berlin (Holst, d’une mère par Caretino), et Cabrio van de Heffinck (Holst, d’une mère par Calato), Cento (Holst, d’une mère par Caletto II), Ultimo van ter Moude (BWP, d’une mère par Major de la Cour), Carolus I (Holst, d’une mère par Roman), Clearway (Holst, d’une mère par Lord) et, bien sûr, Indoctro (Holst, d’une mère par Caletto II), l’étalon fondateur du haras VDL Stud de la famille Van de Lageweg.
De fait,
SCUDERIA 1918 CASAGO affiche par deux fois le sang du chef de race Cor de la Bryère (SF, Rantzau x Lurioso) via Perra, la mère de Carthago, et Daisy IV, fille de Caletto I, lui-même fils de Cor de la Bryère. La mère de
SCUDERIA 1918 CASAGO, Larthago, bonne gagnante jusqu’à 1,50 m avec le Néerlandais Mathijs van Asten, a eu vingt produits, dont onze ont évolué en compétition, et neuf à 1,45 m et plus. Citons notamment Cevin (Z, Coriall), bon gagnant avec le Britannique William Funnell et étalon au sein de son élevage – où il est père, notamment, de Billy Mexico (AES, d’une mère par Le Mexico) et Billy Diamo (AES, d’une mère par Andiamo) – mais également : Hopes Are High (Z, High Valley Z), vu jusqu’à 1,60 m sous couleurs de l’Arabie saoudite ; Caroline (Z, Chellano Z), mère de Castellani (Z, Canturano x Chellano Z), gagnant jusqu’à 1,45 m ; Claudia (Z, Caretano Z), mère de l’étalon Cantona TN (Z, Codex One), gagnant jusqu’à 1,45 m avec le Néerlandais Kars Bonhof ; Uncle Sam (KWPN, Heartbreaker), performant sur 1,45 m, ainsi que son propre frère l’étalon Harley VDL (ex-Ursel KWPN), grand gagnant international sous la selle de l’Irlandaise Jessica Kürten et qui fut approuvé dans sept stud-books, donnant notamment naissance à Narcotique van het Dingeshof (BWP, d’une mère par Chacco-Blue). On pourrait encore citer Igor GPH (KWPN, d’une mère par Crawford), Doloris (KWPN, d’une mère par Colorado D), Charly Chaplin S (KWPN, d’une mère par Burggraaf), ou encore Hummer (Z, d’une mère par Hemmingway), tous gagnants à 1,60 m, Sören (Z, Sandro Boy), performant à 1,60 m, Dimitri (Z,
DIARADO), gagnant en CSI à 1,45 m pour le Danemark, et, enfin, Kalista (KWPN, F One USA), gagnante elle aussi sous couleurs danoises jusqu’à 1,45 m.
SCUDERIA 1918 CASAGO a également un propre frère nommé… Casago II, né deux ans plus tard et auteur d’une belle carrière avec l’Irlandais Patrick Hickey jusqu’en CSIO3*.
La grand-mère maternelle de
SCUDERIA 1918 CASAGO, Daisy IV, est une fille de Caletto I, fils de Cor de la Bryère. Caletto I a été lui aussi un grand géniteur dont les descendants mâles ont marqué les chevaux de sport européens. À commencer par
CALVARO (Holst, d’une mère par Capitol I) et Cantus (Holst, d’une mère par Roman), qui ont largement contribué à perpétuer la diffusion de la génétique de leur illustre père. Le premier occupe ainsi l’actualité depuis trois saisons grâce à son fils Snaike de Blondel (SF, d’une mère par Vondéen), père de la championne d’Europe en titre sous la selle du Suisse Steve Guerdat, Dynamix de Bélhème (SF, d’une mère par Windows van het Costersveld). Le second, via Canturo, est lui-même père, entre autres, de Valentino Massuère (SF, d’une mère par Galoubet A), très bon gagnant en CSI5* pour le Portugal. Outre la mère de
SCUDERIA 1918 CASAGO, Daisy IV a donné, entre autres, Cassino (Holst, Cassini I), performant à 1,50 m, ainsi que L-Coriana (Holst, Coriano Z), mère de Caritano (Z, Carthago) à l’origine de l’étalon Caribis (Z, Canabis Z), titulaire de près de 900 000 euros de gains sous la selle de l’Allemand Christian Ahlmann avec des victoires à Saint-Tropez et Hong Kong notamment, et de Cassiata (Holst, Cassini I), mère de Crystal King (AES,
CORNET OBOLENSKY) qui évolue actuellement en CSI4* avec le Britannique Max Routledge.
UN PRODIGE REMARQUÉ
Approuvé lors du testage du stud-book KWPN au printemps 2015 à Ermelo, à quatre ans,
SCUDERIA 1918 CASAGO fut très apprécié des juges. Son charisme n’a alors pas échappé au jury, à qui sa conformation en rectangle et sa jolie tête ont plu. Il s’est ainsi vu attribuer les notes de 8,5 pour son attitude, 8 pour son équilibre et son galop, pour un score total de 77 points. Le verdict est plus que positif :
« Casago présente un très bon caractère, monté comme à pied, très volontaire au travail. Il montre une bonne capacité d’apprentissage et un bon contact avec la bouche. Son galop est léger, en équilibre, et offre une trajectoire et une élasticité plus que satisfaisantes. Il possède de bons réflexes à l’obstacle, avec un bon geste de devant. Il sera améliorateur au niveau du modèle, de la facilité d’utilisation et de son sens de l’obstacle. »
Relativement discret à ses débuts en compétition dans son pays natal,
SCUDERIA 1918 CASAGO a réapparu en début d’année de six ans… en Italie, sous la selle du pilote Piergiorgio Bucci.
À l’époque, ce dernier montait déjà un trois-quarts frère de
SCUDERIA 1918 CASAGO au plus haut niveau, Casallo (Z,
CASALL x Carthago). Sans aller jusqu’à dire qu’il s’était fait spécialiste des chevaux issus de ce croisement, nul doute que l’Italien plaçait de grands espoirs dans sa nouvelle recrue, bien différente au moins dans son apparence. Sans difficulté et répondant aux attentes de son cavalier,
SCUDERIA 1918 CASAGO est ainsi passé d’épreuves à 1,20m à 1,35m en quelques mois, toujours avec facilité et régularité. À sept ans, il a enchaîné les sans-faute aux CSIYH1* de Kronenberg et Valkenswaard, aux Pays-Bas, à Hambourg, en Allemagne, et à Deauville, en France. C’est d’ailleurs en Normandie qu’il s’est confronté à sa première épreuve à 1,40 m. La saison suivante, il a franchi un cap en sortant avec une seule faute de sa première épreuve à 1,50 m au CSI3* de Vilamoura, sous le soleil portugais.
Soucieux de préserver son crack en devenir, Piergiorgio Bucci l’a ensuite laissé souffler quelque temps en l’engageant dans des épreuves à 1,35m. Après une pause en seconde moitié d’année 2019, le couple est brièvement revenu début 2020 puis, surtout, au second semestre. Ensemble, ils ont enchaîné les performances en CSI3* puis CSI5*, comme à Saint-Tropez où ils se sont classés septièmes du Grand Prix à 1,60m. Le duo a remporté au passage le championnat d’Italie, avant d’être sélectionné au printemps suivant pour son premier CSIO5*, à Rome, puis s’est envolé en Pologne en direction de Sopot avant de prendre le départ d’étapes du Longines Global Champions Tour à Londres et Rome. Malheureusement, une blessure sur un tendon a interrompu cette montée en puissance du couple, et malgré tous les efforts de son entourage,
SCUDERIA 1918 CASAGO ne retrouvera jamais ses pleines capacités physiques.
PLEBICITE PAR SA PRODUCTION
À peine arrivé sur le marché français,
SCUDERIA 1918 CASAGO a su convaincre quelques éleveurs visionnaires. Éric Levallois, par exemple, a été l’un des premiers à lui confier ses juments, tout comme l’ont fait Geneviève Mégret, François Kiffert ou la famille Trihan Lamotte, avant même qu’il ne soit approuvé Selle Français. Inscrits majoritairement au stud-book Zangersheide ou au sBs (certains, nés sous Origine Constatée, l’ont été au Selle Français à titre initial après avoir été présentés en concours d’élevage), ses produits ont très vite séduit les professionnels.
« Nous l’avions repéré lorsqu’il était jeune », avoue Brice Elvezi, directeur du GFE.
« Lorsqu’il a été confié à Piergiorgio Bucci, sa carrière d’étalon était gérée par Grégoire Oberson, qui le vendait à la paillette. Or, nous ne souhaitions pas de ce système. Nous l’avons donc suivi au fil des saisons. »
En bons dénicheurs de talents, les actionnaires du GFE ont ainsi rapidement constaté que leurs espoirs étaient fondés. Le gris a enchaîné les belles performances jusqu’en CSI5*.
« En 2023, nous avons signé un partenariat avec Scuderia 1918 afin de gérer Halifax van het Kluizebos (BWP, Heartbreaker x Fétiche du Pas). Nous avons de nouveau étudié le cas de Casago. Il nous était alors proposé uniquement en semence congelée, mais cela ne nous intéressait pas. Nous préférions nous positionner sur le frais », explique Brice Elvezi. Un an plus tard, le malheur du cavalier italien a fait le bonheur du GFE et des éleveurs tricolores.
« Casago était blessé depuis un moment à un tendon. Ses propriétaires, et notamment son cavalier, espéraient qu’il s’en remettrait, mais cela n’est pas arrivé. Piergiorgio Bucci a eu du mal à supporter l’idée qu’il ne puisse plus sauter, car il plaçait beaucoup d’espoirs en lui. » La carrière du crack étant compromise, ses propriétaires ont alors repris contact avec le GFE en mars 2024 et, le 15 avril suivant,
SCUDERIA 1918 CASAGO débarquait d’Italie au cœur de la Normandie.
UN SUCCÈS IMMÉDIAT
À peine avait-il posé ses sabots sur le sol normand que le fils de
CASALL remplissait déjà son carnet de bal. Au total, cent soixante-douze juments ont bénéficié de ses services, dont quatre-vingt-dix-neuf en semence réfrigérée transportée, trente-cinq en frais, onze en congelé et vingt-sept par transferts d’embryon. Les grands affixes, tels que Brecourt, de la Roque, de Talma, de Milon, de Laume, d’Elle, de l’Isle et bien d’autres, lui ont confié des juments aux origines prestigieuses, où les sangs de Diamant de Semilly et Kannan apparaissent très souvent.
« Sa toute première génération née en France avait six ans en 2024 », indique Brice Elvezi. « Parmi ses poulains, il y a de très bons jeunes chevaux, les éleveurs ont donc un a priori positif sur sa production. »
C’est en effet sur ce critère que
SCUDERIA 1918 CASAGO semble avoir fait la différence. Cashmere Buclotte (ISO 129, Z, d’une mère par Diamant de Semilly), Coolmore Beaufour (ISO 121, Z, d’une mère par Diamant de Semilly), Calinko du Tertre (ISO 122, Z, d’une mère par Armitages Boy), Merastrichta (ISO 124, KWPN, d’une mère par Zambesi), Kosovo de Hus (ISO 115, SF, d’une mère par
NUMERO UNO), finaliste à quatre ans lors de la Grande Semaine, ont fait parler de leur père sur les paddocks du circuit réservé aux jeunes chevaux de la Société hippique française (SHF). Mieux encore, Charlie La Loi (Z, d’une mère par Hors La Loi II), formé par Duarte Romao sur le circuit Jeunes Chevaux, s’est notamment classé cinquième du Grand Prix 3* de Compiègne Classic au printemps dernier sous la selle du Brésilien Felipe Amaral.
« Les performances de ses produits ont clairement joué en sa faveur », admet le représentant du GFE. « Kiss Me Fabulesse, née lorsque Casago n’avait que quatre ans, a rejoint le piquet de Piergiorgio Bucci en avril 2023. Elle ne cesse de briller jusqu’en CSI5*», avance-t-il, la grise ayant notamment pris part à son tout premier Grand Prix à 1,60m lors du CSI5*-W d’Amsterdam en janvier dernier, écopant de quatre points.
« Il y a également Mr Cookie Time, qui a terminé troisième du championnat du monde des sept ans au Lion-d’Angers l’an passé avec la cavalière néo-zélandaise Samantha Lissington », ajoute-t-il. De fait,
SCUDERIA 1918 CASAGO semble donc aussi bien produire en concours complet qu’en saut d’obstacles grâce au mental et à la locomotion qu’il transmet à ses descendants.

Mr Cookie Time (SCUDERIA 1918 CASAGO)
LE SANG DE CASALL
Certes,
CASALL a déjà beaucoup produit en quantité, et en qualité ! Mais force est de constater que sa descendance affiche des modèles hétérogènes.
« Lorsqu’il a été proposé en France, les conditions de monte étaient difficiles, avec un prix élevé, un nombre très limité de paillettes par contrat et un solde au 1er octobre », avance Brice Elvezi.
« Sa production était de qualité mais tardive et, surtout, d’un modèle varié, ce qui s’est confirmé par la suite. En réalité, nous ne cherchions pas un fils de Casall, car nous avions déjà Casall lui-même au catalogue. Mais la souche de Casago est exceptionnelle, avec des performances de haut niveau. C’est un cheval moderne, explosif, félin, rapide, grand et au modèle sport, avec en plus une semence de très bonne qualité. »
Les premières générations ont permis aux associés du GFE de se rassurer quant à l’homogénéité de sa production.
« On voit moins d’extrêmes que dans les produits de Casall », confirme Brice Elvezi.
« Il faut utiliser Casago en pleine connaissance de ce paramètre. S’il possède du sang et de la taille, il faut privilégier les juments qui en ont, comme d’ailleurs toute la lignée de Casall. » Ni lourd, ni léger, doté d’une excellente technique et d’un mental hors pair, il est l’un des rares fils de
CASALL à avoir hérité de ce modèle. Disponible en semence fraîche cette saison au haras de Tamerville chez la famille Brohier dans la Manche, il sera également accessible en semence congelée sur tout le territoire.
« Casago est très demandé dans toute l’Europe, notamment en Grande-Bretagne, Espagne, Belgique, Italie et Pays-Bas. Il appartient à une souche montante qui, à la faveur des croisements opérés par les éleveurs, est très présente sur la scène internationale. » Sa fertilité, son parcours sportif et la régularité de sa production, notamment dans son morphotype, devraient achever de convaincre les quelques éleveurs réticents.
SCUDERIA 1918 CASAGO serait-il en passe de devenir le meilleur fils étalon de
CASALL ? Sacré challenge !